Le vol à voile

 

 

 

Au détour de vos échappées estivales, vous avez sûrement dû observer avec perplexité ces étranges oiseaux blancs sans moteur évoluer gracieusement dans le ciel. Mais au fait, comment ça marche ?

Le planeur utilise les courants ascendants d'air chaud pour gagner de l'altitude et se maintenir dans les airs.

Dépourvu de système de propulsion polluant, le planeur allie les technologies de pointe modernes au service de l'écologie. Propre, silencieux et hi-tech, le vol à voile est résolument un sport adapté à son époque.

Sport de glisse par excellence, le vol à voile offre à ses pilotes un terrain de jeu infini: parcourir 1000 km dans la journée ou atteindre 10 000 m d'altitude est désormais possible ! Pour cela, le vélivole (autrement dit le pilote de planeur) dispose d'un outil performant: le  planeur.

 

 

La mise en vol

Pour atteindre les courants porteurs, le planeur a besoin d'une aide extérieure qui le propulse en l'air.

Deux dispositifs d'envol sont à la disposition du vélivole : le remorqueur et le treuil.

Nous avons choisi d'utiliser le  treuil.

Le treuil hisse le planeur au dessus de son aérodrome de départ à la manière d'un cerf-volant. Accroché à un câble, le planeur se largue à une altitude de 400 ou 500 m. Cette technique spectaculaire a fait ses preuves : très sûre, elle a aussi l'avantage d'être économique et silencieuse.